3. Les périphériques usuels

Le clavier. Les claviers français sont souvent nommés AZERTY (d'après les touches de la première ligne), les claviers anglais sont nommés QWERTY. Ces dispositions ont été conçues à l'époque des machines à écrire mécaniques pour ralentir la frappe : des frappes trop rapides faisaient se toucher... et se coincer les marteaux.

Le dispositif de pointage : souris, écran tactile, trackball, tackpoint, touchpad etc.

La “carte” graphique, qui comporte elle-même un ou plusieurs processeurs et sa propre mémoire vive, généralement très rapide. Elle est parfois intégrée à la carte mère ; on ne devrait donc pas parler de « carte graphique » mais de « système graphique ». Aujourd'hui l'image affichée à l'écran est calculée par la carte graphique : on a donc deux séries de processeurs (graphiques et centraux) qui se partagent une partie de la mémoire.

Le moniteur (l'“écran”). Pour la conception web ou multimédia, il n'est pas rare d'utiliser deux moniteurs : un pour la conception, un pour la consultation du résultat.

La mémoire de masse : disque dur ou SSD[6], disquette, CD/DVD/bluray, cartes mémoire, clefs USB etc. Toute forme de stockage de l'information au delà du traitement en cours.

Autres périphériques usuels : “carte“ son, “carte” réseau (ethernet, WiFi...), imprimante, webcam, scanner, modem…



[6] Un disque dur est composé principalement d'un disque recouvert d'une substance magnétisable qui défile devant des têtes d'écriture et de lecture. En revanche, un “disque” SSD ne comporte pas de partie mobile : il s'agit de puces de mémoire non volatile, similaire à celle des clés et cartes mémoires.